Selon la science ces dix signes prouveraient que vous faites partie des personnes les plus intelligentes
Vous êtes bordélique, flemmard.e, méfiant.e et stressé.e ? Alors vous faites peut-être partie des personnes plus ingénieuses.
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Publié le 04-05-2023 à 18h45 - Mis à jour le 04-05-2023 à 19h21
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Si pour certains l’intelligence est innée, pour d’autres elle est le résultat de toute une série de facteurs liés à l’environnement familial, à l’éducation et même à la nutrition. Dans tous les cas, il semblerait que certains signes liés à cette faculté ne trompent pas. En effet, comme le relate Grazia une récente étude menée par un groupe de scientifiques a avancé qu’il était possible de détecter l’intelligence de certaines personnes ayant des traits de caractères communs. Petit topo :
L’empathie
L’Université du Texas a prouvé que les personnes avec un QI plus bas étaient généralement plus égoïstes à l’inverse des individus plus intelligents qui feraient eux beaucoup plus preuve d’empathie.
Arrêtez de vous poser cette question toxique au risque d’agacer vos prochesLa zen attitude
Il semblerait que les personnes les plus intelligentes soient capables de plus facilement se maîtriser en cas d’énervement. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude de l’Université du Michigan menée durant 22 auprès de 600 participants. Évidemment, vivre dans un environnement tendu n’aide pas à développer la maîtrise de soi. Aussi, grandir dans un environnement calme et paisible serait profitable à un développement intellectuel optimal.
La modestie
Les gens intelligents savent ce qu’ils valent et n’ont pas besoin d’exposer leur réussite aux autres ou de se croire au-dessus de la mêlée pour le prouver.
Savoir reconnaître ses erreurs
En général, les personnes plus intelligentes assument leurs échecs et ne tentent de pas de remettre la faute sur les autres. Ils se servent de leurs erreurs pour avancer et se remettre en question.
L’anxiété
Il semblerait que les personnes dotées d’un QI plus élevé soient de nature très anxieuse et méfiante. Elles s’imaginent tout de suite tous les scénarios dans leur tête et stressent rapidement. Aussi, elles n’accordent pas facilement leur confiance, que cela soit en amour ou en amitié, pour n’être entourées que de personnes stables sur le long terme.
Le bazar
Vous l’aurez déjà certainement déjà entendu, mais les personnes désordonnées seraient plus intelligentes. Aussi, la prochaine fois que vous apercevrez un appartement ou une maison sens dessus dessous, ne jugez pas trop vite le/les propritéaire.s. Il semblerait d’ailleurs que ces personnes soient plus créatives.
L’impolitesse
Vous vous direz que ce point va à l’encontre du deuxième. De fait, si les personnes plus intelligentes sont capables de faire preuve de retenue, lorsqu’elles s’énervent vraiment elles n’y vont pas de main morte et seraient particulièrement impolies.
Voici la qualité qui vous rendrait immédiatement plus séduisant selon une étudeCouche tard
Les personnes dotées d’un QI supérieur à 125 auraient tendance à se coucher après minuit et demi, alors que celles au QI inférieur à 75 se coucheraient elles bien avant. C’est en tout cas ce qui est ressorti de plusieurs études réalisées par la London School of Economics. Les insomnies seraient-elles monnaie courante chez les génies ? Rappelons que l’on peut parler d’une personne surdouée à partir du moment où le QI atteint 130.
Flemmardise
Alors que l’on pourrait croire que les personnes plus intelligentes ne doivent pas arrêter une minute et exploiter leurs compétences, en réalité elles utiliseraient la majeure partie de leur temps libre à réfléchir et observer leur environnement. En bref, elles ne se laisseraient pas distraire selon une étude réalisée par l’Université de Gulf Coast en Floride.
Dur de la feuille
Si les personnes intelligentes sont des couche-tard, il semble donc évident qu’elles doivent avoir du mal à se lever le matin. Aussi, elles auraient tendance à utiliser sans limite la fonction snooze de leur réveil pour reporter encore et encore l’heure à laquelle elles doivent sortir du lit. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude publiée dans la revue Personality and Individual Differences.