Novak Djokovic rejoint la famille Hublot

L’actu de la manufacture suisse, dont les montres sont des concentrés d’énergie détonante.

« Un grand jour pour Hublot »... C’est en ces mots que le CEO Ricardo Guadalupe a salué l’arrivée de l’immense Novak Djokovic dans le cercle restreint des ambassadeurs Hublot. À son poignet : une Big Bang Meca-10 qui totalise 10 jours de réserve de marche grâce à un mouvement, lui aussi, champion.
« Un grand jour pour Hublot »... C’est en ces mots que le CEO Ricardo Guadalupe a salué l’arrivée de l’immense Novak Djokovic dans le cercle restreint des ambassadeurs Hublot. À son poignet : une Big Bang Meca-10 qui totalise 10 jours de réserve de marche grâce à un mouvement, lui aussi, champion.

Son nouvel ambassadeur : Novak Djokovic. Juste avant le début de l’US Open à Flushing Meadows (New York), le numéro un du tennis mondial a rejoint la famille Hublot qui compte déjà Usain Bolt, Pelé et Kylian Mbappé. « Il est unique, premier et différent, ce qui est exactement notre leitmotiv », commente Ricardo Guadalupe, le CEO Hublot. Légende vivante, le joueur serbe a jeté son dévolu sur une Big Bang Meca-10 en céramique noire ou bleue, avec une réserve de marche record de 10 jours. Choix judicieux : la Big Bang est le modèle phare auquel la maison de haute horlogerie doit son ascension fulgurante.

Hublot, marque des années 1980, a vécu la plus atypique des renaissances en 2005. Cette année-là, Jean-Claude Biver, « gourou » visionnaire de la mesure du temps, perçoit les prémices d’un big bang horloger dans l’idée originelle du fondateur Carlo Crocco : faire se rencontrer l’or et le caoutchouc. L’alliance iconoclaste servira d’inspiration pour créer la Big Bang et son design hors du commun. Depuis, Hublot tictaque dans l’avant-gardisme des matières et des mouvements mécaniques, Jean-Claude Biver est devenu chairman et la montre toujours futuriste ne cesse de se réinventer. Ses déclinaisons, souvent ancrées dans une sportivité extrême, s’autorisent toutes les audaces techniques et esthétiques.

En céramique grise, la Big Bang Sang Bleu II peut évoquer les structures urbaines des mégalopoles du XXIe siècle. Ses nuances satinées et polies rappellent tour à tour l’acier, le titane et l’aluminium. 45 mm, réserve de marche de 72 heures, 200 exemplaires. ©Hublot
En céramique grise, la Big Bang Sang Bleu II peut évoquer les structures urbaines des mégalopoles du XXIe siècle. Ses nuances satinées et polies rappellent tour à tour l’acier, le titane et l’aluminium. 45 mm, réserve de marche de 72 heures, 200 exemplaires. ©Hublot

Zoom sur la Big Bang Sang Bleu II : une architecture radicale, complexe, taillée comme un diamant dans la céramique high-tech. Née d’une collaboration avec l’artiste tatoueur et ambassadeur Maxime Plescia-Buchi, cette Big Bang ultragéométrique – et néanmoins d’une fluidité parfaite – affûte aujourd’hui son inclassable design en gris, blanc et bleu. Une trilogie chromatique éditée en série limitée et motorisée par le calibre de chronographe manufacture Unico, à remontage automatique. Autre fait saillant chez Hublot : depuis quatre ans, l’artiste plasticien Richard Orlinski signe la mise en relief de pièces Classic Fusion.

Il y sculpte les emblématiques arêtes, facettes et biseaux qu’il réserve habituellement aux animaux XXL de son univers pop et coloré. La céramique, matière pourtant dure et résistante, n’échappe pas au facettage compulsif d’Orlinski. Cette fois, la maîtrise technique de la manufacture lui permet de le poursuivre jusqu’au cadran. Résultat : deux origamis horlogers joliment déployés en céramique bleu roi ou noir brillant.

De quoi prouver, une fois encore, que celle-ci est un matériau de prédilection pour Hublot. La doter de nuances intenses et profonde relève de la haute technologie. En 2018, la manufacture avait d’ailleurs fait appel à ses départements de recherche et déveveloppement et de métallurgie afin d’inventer et de breveter une première mondiale : la céramique rouge vif.

Dans la jungle de l’art contemporain, ses animaux sauvages en résine – ours, gorille ou panthère – se domptent à prix d’or : Richard Orlinski est aujourd’hui l’un des artistes français les plus vendus au monde. Pour Hublot, il miniaturise arêtes, biseaux et facettes dans la céramique monochrome. Classic Fusion Orlinski 40 mm bleue ou noire polie, automatique, réserve de marche de 42 heures, 13 400 euros. ©Hublot
Dans la jungle de l’art contemporain, ses animaux sauvages en résine – ours, gorille ou panthère – se domptent à prix d’or : Richard Orlinski est aujourd’hui l’un des artistes français les plus vendus au monde. Pour Hublot, il miniaturise arêtes, biseaux et facettes dans la céramique monochrome. Classic Fusion Orlinski 40 mm bleue ou noire polie, automatique, réserve de marche de 42 heures, 13 400 euros. ©Hublot

www.hublot.com

En vente chez Hall of Time, 75R avenue Louise à 1050 Bruxelles – 02 539 34 50

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