"Dieu ne m'a pas donné de jambes, mais les a remplacées par du talent", lance Alfonso Mendoza. Abandonné par ses parents à la naissance, ce Vénézuélien a été élevé par sa grand-mère qui décède alors qu'il n'a que neuf ans. À l'école, la vie en fauteuil roulant n'est pas rose non plus. Les autres enfants "me mettaient dans les poubelles ou m'enfermaient dans les toilettes". À 13 ans, en dépression, il pense à mettre fin à ses jours. Jusqu'à ce que la musique "lui sauve la vie" et qu'un ami lui apprennent à circuler en planche à roulettes.
"Dieu ne m'a pas donné de jambes, mais les a remplacées par du talent", lance Alfonso Mendoza. Abandonné par ses parents à la naissance, ce Vénézuélien a été élevé par sa grand-mère qui décède alors qu'il n'a que neuf ans. À l'école, la vie en fauteuil roulant n'est pas rose non plus. Les autres enfants "me mettaient dans les poubelles ou m'enfermaient dans les toilettes". À 13 ans, en dépression, il pense à mettre fin à ses jours. Jusqu'à ce que la musique "lui sauve la vie" et qu'un ami lui apprennent à circuler en planche à roulettes.
Malgré une malformation congénitale et des conditions de vie précaires, Alfonso Mendoza respire la bonne humeur : il rappe, surfe, skate et vient d'être papa. Mais les premières années de vie de ce jeune migrant vénézuélien n'ont pas été faciles.